D’un commun accord, le travailleur et l’employeur peuvent mettre fin de manière anticipée à un crédit-temps avec motif. Le travailleur doit le signaler à son bureau de chômage.
A partir du 1er septembre 2024 : si la résiliation anticipée se produit avant l’expiration de la durée minimale du crédit-temps, le travailleur ne devra plus rembourser l’intégralité des allocations déjà perçues.
Néanmoins, la totalité de la durée minimale du crédit-temps est déduite de la durée maximale autorisée sur l’ensemble de la carrière du travailleur.
Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans notre article.